Nous décryptons pour vous différentes publications autour des paiements.
Concentrons-nous aujourd’hui sur sur le bilan carbone des paiements.
Nous décryptons pour vous différentes publications autour des paiements.
Concentrons-nous aujourd’hui sur sur le bilan carbone des paiements.
Comme tous les secteurs de l’ économie, le paiement est « rattrapé » par le sujet de son impact environnemental. Une étude d’ Oxford Economics conduite à l’ initiative de l’ EDPIA sur l’ Allemagne, la Finlande et l’ Italie démontre que le paiement en espèce a un impact carbone 20 fois supérieur à celui du paiement carte. L’ écart entre les trois pays pour les émissions carbone est uniquement d’ un facteur 2 pour le paiement carte, mais d’ un facteur 5 pour le paiement en espèce. Cela s’explique en grande partie par les déplacements nécessaires pour alimenter et effectuer des retraits sur les DAB dans un pays à faible densité de population comme la Finlande.
L’ étude intègre deux autres critères d’impact environnemental : la rareté des matières premières mobilisées et les rayonnements ionisants produits.